ses-vices-et-vertus

Dis moi que tu aimes mon cul.

Dis moi que tu aimes ce que je fais avec mon Cul.

Tu ne penses qu'à ça, n'est-ce pas?

Chaque fois que tu peux mater mon cul, sans que je sois à poil, tu t'interroges.
Que porte t'elle aujourd'hui sous sa robe?
Alors tes yeux cherchent, observent, aiguisés... à l'affût.
Les plis du tissu là...tout prés de mes hanches.

Culotte?
Ou salope?

Tu n'ignores rien de leur froissement incongru, désopilant...qui révèlera...ou pas...
Je sens ton impatience, presque comme celle d'un enfant capricieux.

Taperais-tu  du pied?
De la bite? pour que je cède.
Je t'imagine tapant ta bite par terre.
Chaque claquement la hisserait vers l'inévitable durcissement .
La vision du cul béant comme la mèche de l'explosif à allumer...
Bite tendue, généreusement irriguée de ton désir frustré dont l'objet serait  pourtant si proche.

Je te vois, furieux, excité, au bord de la crispation douloureuse.
L' enfant sauvage de Truffaut.

Approche- toi.
Examine le  de plus prés...
Mets ton habit des sens naturels.
Approche-toi encore.
Fixe tes yeux au milieu de mes deux lobes, regarde,  je les écarte bien pour toi.
Je garde mon string...mais promis, pas longtemps...

Vicieux...

A moins que tu préfères que je  me contente de l'écarter de ce centre qui t'obsède.
Ses frottements sur ta queue s'emploieraient à tester un nouveau type de branlette.
ta queue dans mes trous, dérangée , énervée, titillée par le string, à chaque fois qu'elle me pénètre.

Regarde mon anus, je le comprime et le doigte...j'aime quand tes pupilles se dilattent.
Etincelles de sexe en feu "d'artifesse."
Une perversité délicate.
Des peaux moites, des fluides incontrôlables, des odeurs indécentes.

Maintenant, maintenant tu peux mettre ta queue.
Dans le trou que tu veux...

Je suis ta salope.
Celle qui porte pas de culotte...